« Au cours des dernières années, les relations entre la Chine et l’Allemagne ont généralement connu un développement harmonieux, la coopération bilatérale dans divers domaines ayant fait preuve d’une forte résilience pendant la pandémie de COVID-19, ce qui a apporté un véritable sentiment de satisfaction aux populations des deux pays.»
— Déclaration de Xi Jinping, président chinois, lors d’un entretien téléphonique avec Angela Merkel, chancelière allemande.
M.Xi a affirmé que la raison fondamentale des grandes avancées dans les relations Chine-Allemagne réside dans le fait que les deux pays se respectent, recherchent un terrain d’entente tout en respectant leurs divergences, se concentrent sur une coopération gagnant-gagnant et cherchent à compléter leurs avantages respectifs.
« Ce serait très utile et fructueux pour la Suisse si nous avions plus d’accès avec des produits innovants sur le marché chinois.»
— Déclaration de Karin Keller-Sutter,conseillère fédérale suisse, dans une interview accordée à Xinhua.
Depuis 2010, la Chine est le premier partenaire commercial de la Suisse en Asie.Les deux pays ont signé un accord de libre-échange qui est entré en vigueur le 1erjuillet 2014.Mme Keller-Sutter a dit espérer que le commerce bilatéral pourrait être encore renforcé et étendu dans différents secteurs.
« La Chine, en tant que deuxième puissance économique mondiale, se trouve dans une période cruciale marquée par l’accélération de la transformation et de la modernisation de son économie, le renforcement du développement du secteur tertiaire, l’élargissement de l’ouverture et l’approfondissement de l’internationalisation de ses entreprises, et elle présente un fort potentiel pour le développement du commerce des services.»
— Déclaration de Liang Guoyong, économiste à la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, lors d’une récente interview avec Xinhua.
Selon M.Liang, le CIFTIS, qui s’est tenu dans ce contexte, permet sans aucun doute d’apporter un nouvel élan au rebond des échanges de services et à la reprise de l’économie mondiale, de freiner la tendance antimondialisation qui s’est renforcée depuis le début de la pandémie, et de créer un environnement favorable à la coopération internationale et caractérisé par l’unité, l’ouverture et l’inclusion.