LA VOIE DE L’ESPOIR
En 2013, le président chinois Xi Jinping a proposé l’initiative de « la Ceinture économique de la Route de la Soie et la Route de la Soie maritime du XXIesiècle ». Depuis trois ans, cette initiative a attiré l’attention de la communauté internationale. Actuellement, plus d’une centaine de pays et organisations internationales ont déjà participé à cette initiative. La Chine a signé un accord de coopération sur cette initiative avec une trentaine de pays riverains et entamé une coopération internationale en matière de capacité de production avec une vingtaine de pays. Des organisations internationales telles que l’ONU ont aussi montré de l’intérêt pour cette initiative. La coopération financière, représentée par la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures et le Fonds de la Route de la Soie, s’est approfondie sans cesse. Un certain nombre de projets ont été mis en œuvre et ont ainsi profité aux peuples riverains.
D’octobre 2013 à juin 2016, la Chine a achevé la construction d’infrastructures de transport dans les 26 pays longeant les Nouvelles Routes de la Soie ; elle a signé des contrats et initié dans 19 pays riverains de grands projets énergétiques comme la construction de centrales électriques, la transmission de l’électricité, du pétrole et du gaz ; elle a établi 52 zones de coopération économique et commerciale dans 18 pays riverains. De juin 2013 à juin 2016, le volume des échanges de marchandises entre la Chine et les pays riverains des Nouvelles Routes de la Soie a atteint 3 100 milliards de dollars, ce qui représente 26 % du volume total du commerce extérieur de Chine. Les investissements chinois dans les pays riverains se sont élevés à 51,1 milliards de dollars. Le soutien financier couvre 90 % des régions et pays riverains. En plus, la Chine a réalisé des échanges culturels avec tous les pays riverains.
Faisant face à la vague de l’antimondialisation par le protectionnisme, l’isolationnisme et le populisme, l’initiative des Nouvelles Routes de la Soie préconise l’inclusivité, la justice, la coopération internationale et régionale, ainsi que le développement durable. Elle profite non seulement aux pays et peuples riverains, mais promeut aussi l’édification d’un nouvel ordre international plus juste et plus inclusif.