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« Je serais ravi de faire la publicité des bicyclettes chinoises, et d’agir en faveur de la mise à niveau intelligente de Made in China. »
— Le 26 juin, le premier ministre Li Keqiang a rendu visite au magasin Tianjin Flying Pigeon Cycle Manufacture Co., Ltd, situé dans la rue Shengli à Tianjin, et a essayé une bicyclette « super smart ».
Tout en encourageant cette entreprise dans laquelle a vu le jour la première bicyclette chinoise, il espère qu’elle fera preuve d’esprit d’entreprenariat (innovation) et fera rayonner l’esprit artisan (recherche de la perfection), afin de devenir une marque centenaire parmi les entreprises chinoises traditionnelles.
« Je tiens à souligner auprès de l’Inde que les intérêts communs entre la Chine et l’Inde sont largement plus importants que les différends, et que la demande de coopération dépasse largement la compétition. »
— Le 13 août, le ministre des Affaires étrangères Wang Yi a fait cette déclaration avant de terminer sa visite en Inde.
L’un des consensus atteints lors de sa visite consiste à se soutenir mutuellement, conjuguer les efforts pour mener à bien le Sommet du G20 à Hangzhou et l’entretien des dirigeants des BRICS à Goa.
« La Chine est une puissance sportive incontestable. Par conséquent, les Chinois doivent avoir l’ouverture d’esprit et la tolérance appropriées. Il ne faut pas prêter une très grande importance aux médailles d’or, il faut apprendre à apprécier les Jeux olympiques, avec l’excitation et les incertitudes que les sports de compétition impliquent. »
— Le 6 août (horaire du Brésil) marque la première journée de compétition aux JO de Rio, lors de laquelle l’équipe chinoise n’a obtenu aucune médaille d’or. Il s’agit de la première fois depuis 16 ans que la Chine est confrontée à cette situation. Ainsi, le commentateur en chef du journal Oriental Morning Post a écrit spécialement un article.
Selon lui, l’attitude selon laquelle les joueurs chinois seraient dans l’obligation de gagner la médaille d’or dans les disciplines prometteuses de la Chine va à l’encontre de l’esprit du sport et exerce sur les joueurs des pressions inutiles.
« Aujourd’hui, on compte de plus en plus d’acteurs étrangers en Chine. Avec une compréhension plus approfondie des étrangers, les Chinois ont créé des rôles plus agréables. »
— Le 15 juillet, le journal New York Times a publié une interview de l’américain Jonathan Kos-Read.
Jonathan Kos-Read a joué dans presque 100 films ou feuilletons en Chine. Selon lui, le fait qu’il y ait de plus en plus de rôles diversifiés pour les acteurs étrangers résulte de l’ouverture grandissante de la Chine.